Rowery

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La mort du photographe a compliqué le montage de l'exposition. Car, en coulisses, se posent [url=http://www.eracorrect.com]mulberry outlet[/url] plusieurs [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] questions sur la propriété et la diffusion de son travail. Ronis avait fait don de son oeuvre à l'Etat par deux donations, en 1983 et 1989. En échange, l'Etat a payé jusqu'à sa mort le loyer de son appartement, à Paris. Dans son testament, Ronis a légué le reste de son oeuvre à [url=http://www.kmhaiyi.com/read.php?tid=101141&ds=1&page=e]mulberry outlet Budgeting Is Essential If You Are To Meet Your Financial Goals[/url] l'Etat. Avant de sélectionner les [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] images, il a fallu l'appartement du photographe, ses archives, ses épreuves et négatifs à la Médiathèque de l' et du patrimoine, qui conserve les fonds photos de l'Etat.
Qu'adviendra-t-il désormais ? des musées nationaux, qui a une agence photographique, pourrait se sur les rangs. L'agence Rapho, de son c?té, mise en cessation de paiement, [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] vient de un repreneur, et doit prochainement déménager. Le feuilleton Willy Ronis est loin d'être terminé.
cet hommage. C'est à la Monnaie de Paris que 150 photographies, réunies sous le "Willy Ronis, une poétique de l'engagement", saluent un photographe humaniste qui, dans le sillage de , est devenu célèbre sur le tard.
La succession de Willy Ronis est loin d'être achevée. Et, pour tout , on ignore exactement ce qui reviendra à l'Etat au bout du compte. Car depuis 1983, date de la première donation, les pouvoirs publics n'ont jamais procédé à [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] un inventaire de l'oeuvre. Cette négligence a eu de lourdes conséquences. Avec les années, la notoriété de Ronis a cr? fortement et le prix de ses épreuves a bondi. En 2004, le photographe vendait aux enchères des tirages d'époque, alors que l'Etat en était théoriquement déjà propriétaire. Ainsi, en vingt-cinq ans, le "patrimoine Ronis" de l'Etat a fondu sans que l'on sache en quelles proportions.
Une autre partie du fonds devrait logiquement lui échapper. Car Ronis a un héritier direct, son petit-fils Stéphane Kovalsky. Celui-ci, photographe, n'est pas détenteur du droit moral : "Mon grand-père voulait m'éviter la charge de m' de son oeuvre", dit-il. Stéphane Kovalsky a droit à une part réservataire d'héritage, qui reste à évaluer : les notaires sont en train de des experts - qui doivent être avalisés par toutes les parties - pour la valeur du fonds avant de le répartir. Ensuite, peut-être l'héritier envisagera-t-il de ses frais de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] succession en nature, avec des oeuvres, via une dation. Un processus qui pourrait des mois. Et [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] avant toute chose, les notaires doivent encore [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] toutes les épreuves de Willy Ronis éparpillées à droite et à gauche : le Musée de la Résistance détiendrait ainsi des tirages grand format réalisés pour une exposition.
Reste enfin l'épineuse question de la diffusion. Jusqu'à la mort de Ronis, c'est l'agence historique du photographe, Rapho, qui commercialisait les reproductions pour la presse et l'édition. L'Etat avait reconduit le contrat avec Rapho pour six mois - ce contrat s'est achevé en mars.
D'autres complications s'ajoutent. Dans son testament, Ronis a cerné l'utilisation de ses photos. Il autorise les tirages posthumes. Il a nommé quatre exécuteurs testamentaires. Détenteurs du droit moral, ils veillent au respect de son travail artistique et de sa diffusion. Les images, par exemple, ne doivent pas à des fins publicitaires ou confessionnelles. Pour chaque publication ou exposition, l'aval des exécuteurs est requis. "Nous avons coopéré de fa?on [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] suivie pour l'exposition [url=http://www.taomengzhe.com/forum.php?mod=viewthread&tid=321437&pid=392406&page=1&extra=page=1#pid392406]hollister sale Watch Dexter - Get Gellar S-6 Episo[/url] avec le Jeu de paume, explique l'un d'entre eux, l'avocat Roland Rappaport. Nous n'entravons pas la t?che de l'Etat par des exigences tatillonnes." Les quatre exécuteurs testamentaires étaient des amis de plus ou moins longue date de Willy Ronis. Outre Roland Rappaport, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] on trouve le réalisateur Daniel Karlin, le photographe Gérard Uféras et un ancien [url=http://www.fatwirecommunity.com/index.php?p=/discussion/31983/hollister-sale-le-noir-et-le-rouge]hollister sale Le noir et le rouge[/url] commandant de bord d'Air France, Jean Guerry. Trois d'entre eux ont eu un lien avec le , à l'instar de , membre du PC jusqu'en 1965, qui a toujours eu le coeur à gauche.
C'est d'ailleurs dans un sens que les exécuteurs testamentaires ont imprimé leur marque : ils ont fait le texte d'introduction de l'exposition pour que l'engagement du photographe et son parcours pendant la guerre - d'origine juive, Ronis s'est réfugié en zone libre en 1941 - soient plus explicites. "Tout s'est passé en bonne entente", assure Marta Gili. Même si d'autres n'hésitent pas à ces exécuteurs [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] testamentaires les "E.T.".
Le déménagement a eu lieu en décembre 2009, alors que la liste des oeuvres devait être finalisée deux mois plus tard pour le catalogue. "J'ai eu très peu de temps pour travailler", dit la commissaire de l'exposition, Marta Gili, directrice du [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Jeu de paume. Alors que, pour l'exposition Ronis, présentée à Arles en 2009, Marta Gili avait collaboré avec le photographe, elle a d? cette fois en fouillant dans les bo?tes qui renferment des milliers de documents amassés pendant plus de cinquante ans.