Rowery

xkekg34fa

Author's Resource Box
Visit this site to read more about and
Article Source:
Report ArticleBadly WrittenOffensive ContentSpamBad Author LinksMis-spellingsBad FormattingBad Author PhotoGood Article!
Submitted : 2011-06-02 00:00:00Word Count : 605Popularity: Not [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] RatedTags: business card printing, business card samples
Do [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] students need business cards? [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] Bizarre as it may seem students [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] do need business cards as well. It?s common connotation that only business owners and professionals need business cards. They need these cards to keep in contact with people especially [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] their customers. But in today?s quickly advancing world, it?s not bad for students to have their own . Their cards will serve as the start in their preparation in entering the corporate world later on. If they can [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] get contacts as easy as their educational years, it would be easy for them to find jobs or enter the corporate world in the future.
But what?s really the point [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] of students using business cards? This is not really just about having them, but more about having someone to call down the line. This would show people that they are professionals and committed to finding their place in the business sector even if it?s early for them to belong in the industry yet.
If you are a student about to graduate in a few months, giving out business cards would help you get the right contacts when looking for a job later on. It?s networking to get contacts you can turn to when the right time comes. For this reason, it is important that [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] you give out your cards as often as you can. When you have the opportunity, don?t be scared to hand out your cards. This will help people to remember. In fact, you can look more memorable to people with your student business card. Although they might find it bizarre, they will surely remember you.
The best place to distribute your cards is in academic events, student conferences, seminars, and other occasions your school will have. You [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] can even bring them on your night out with friends or even on your date. You?ll never know who you?ll meet, so it pays to be ready. Don?t think of finding it odd to give out your cards on these occasions. What is important is you see the opportunity and use that to your advantage. Get your name out there and get as many names in return.
Just like the cards used by businesses, it?s practically easy to create your own student business card. First you have to think of your purpose. That would be to meet people and share your contact details. Then you need to think of the impression you want to convey to people. Would you want them to see you as a cool, funny, or serious person? This would help you in picking the best design for your cards.
You can always make use of the templates provided by online printing companies as your design. You simply download the templates (which is often offered for free), put in your contact details, and your cards [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] are ready for printing. But if you want a unique look for your cards, it would be best to create . A personalized design will make you more unique and attention-grabbing. This will also make you more memorable to [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] people. With a little creativity, you can be sure to get the design perfect for your image.
Since you are a student, money would surely be a problem. The good news is there are plenty of online printing companies today that offer affordable printing services. If you can find the [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] right printer, you can be sure to save a bundle in printing your own cards.
Starting Promotions Early With Student Business Cards
Author :
相关的主题文章：

[url=http://www.qianpazi.com/viewthread.php?tid=23337&extra=]hollister Linea cappottini Dog line AlimentaPress.it[/url]

[url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106322&res=1&page=430]barbour sale DOLCETTO DI DIAN[/url]

[url=http://www.ztpclan.com/blogs/post/51845]giuseppe zanotti sneakers Why You Should Learn Japanese[/url]

xkekg34fa · Posted: Wed 7:04, 25 Sep 2013 Post subject:

Lundi 26 avril, le cahier investissements du Wall Street Journal titrait sur cinq colonnes : "L'attitude "Pas de quartier" des traders de Goldman" (Goldman's Take-). Le quotidien de la finance décrivait des courtiers sans foi ni autre loi que celle visant à se les poches, y compris au détriment des clients. En dessous figurait un second : "Dans l'affaire WaMu, les investisseurs ont perdu, Goldman a gagné". WaMu (Washington Mutual), second organisme de crédit hypothécaire américain, s'est effondré dans la crise. Bref, des rapaces.
HARO SUR LE MONARQUE
Bien s?r, GS évolue dans un environnement bouleversé par la crise. Elle a d? la concurrence des gagnants de la crise - en particulier JP Morgan, le Crédit et Barclays Capital, adossés à des banques de dép?t réputées. face au militantisme d'actionnaires contre le diktat des banquiers conseils et à la nouvelle importance de la morale (le concept d'abus de droit à la fran?aise) dans la pratique anglo-saxonne du business. Mais c'est surtout son environnement qui a évolué.
GS paye cher le prix de son primat déchu. Que peut son réseau d'influence, naguère jugé "le meilleur de la place", lorsque les sondages montrent que les banquiers d'affaires et leur "rapacité" sont unanimement per?us par l'opinion, de la gauche démocrate jusqu'au mouvement ultraconservateur des , comme les premiers responsables des déboires économiques de l'Amérique ?
Bien s?r, M. van Praag savait que la SEC enquêtait. Mais qu'une banque de ce standing prenne connaissance d'une plainte de l'Etat américain par voie de presse, "c'est un signe sidérant de dégringolade de son piédestal", juge un très important lobbyiste bancaire.
Lorsque a accédé au , en janvier 2009, beaucoup se sont demandé si les "réseaux Goldman" à Washington préserveraient leur influence prépondérante. Les deux derniers secrétaires au Trésor de Bill Clinton et George Bush n'avaient-t-ils pas été deux ex-PDG de Goldman Sachs : Robert Rubin puis Henry Paulson ? On a cru que rien ne changerait lorsque Timothy Geithner, secrétaire au Trésor de M. Obama, avait choisi Mark Patterson pour son cabinet. L'homme avait été lobbyiste de Goldman de 2003 à 2008.
Comment cette soudaine perte de statut ? Par la conjoncture, d'abord. Certaines concomitances s'avèrent malheureuses. [link widoczny dla zalogowanych] Le matin en question, Goldman Sachs inaugurait ses nouveaux bureaux en verre dans le bas-Manhattan. Co?t : 2,1 milliards de dollars (1,6 milliard d'euros). Mais avec toutes les lumières braquées sur la banque, la moindre erreur de communication, même involontaire, se paye [link widoczny dla zalogowanych] comptant. Une fois la [link widoczny dla zalogowanych] plainte annoncée, le nouveau "palais Goldman" est devenu objet d'une aigre risée : la banque affichait d'un coup son faste et son mépris pour les soup?ons de fraude.
Aux yeux de l'opinion, GS est devenu champion de la rentabilité mais aussi de la cupidité. D'où la levée de boucliers devant les révélations sur la vente d'actions de leur entreprise par cinq de ses dirigeants, pour 65,4 millions de dollars (49 millions d'euros), entre octobre 2009 et février 2010, après appris que la SEC enquêtait sur leur banque.
Aujourd'hui, rien n'est moins s?r. Que malgré la présence d'un Patterson au pivot du économico-financier de l'Etat, malgré l'arrivée chez GS du lobbyiste Greg Craig, un homme qui fut très proche de M. Obama, la SEC, une agence publique, ait pu Goldman de manière si cavalière "a fait brutalement à ses dirigeants la dimension de leur perte d'influence ", tranche notre lobbyiste.
Lorsque, vendredi 16 avril, M. Obama a déclaré, à Wall Street, "un marché libre n'a jamais signifié la liberté de tout ce qu'on peut sans se préoccuper de la manière d'y parvenir", il visait toute une corporation. Pourtant, spontanément, chacun a d'abord pensé à GS. Ses ennemis, nombreux dans le milieu bancaire, se réjouissent de les mots [link widoczny dla zalogowanych] Goldman Sachs et fraude associés dans une plainte officielle... et dans l'esprit du public. Même s'ils craignent [link widoczny dla zalogowanych] que la plainte ne soit qu'un prélude à une offensive contre eux, aujourd'hui, c'est haro sur le monarque dont le tr?ne vacille.
Patron de la communication [link widoczny dla zalogowanych] de (GS), Lucas van Praag en est resté coi. Ce 16 avril au soir, le site en ligne du Times annon?ait que la Securities & (SEC, contr?leur des marchés financiers américains) déposait une plainte pour fraude contre sa banque, son PDG et un de ses vice-présidents, le Fran?ais .
On y est : "prouvable" ou non devant un tribunal, c'est de ce soup?on dévastateur de fraude dont Goldman doit se défaire. La banque garde [link widoczny dla zalogowanych] de la ressource. Son bilan est solide, son savoir-faire incontestable, ses moyens humains - analystes, traders, gestionnaires de fortune - restent parmi les meilleurs. Reste à si l'issue de l'affaire lui permettra d' de sa capacité d'influence perdue, ou si la tempête l'aura définitivement balayée.
PERTE D'INFLUENCE [link widoczny dla zalogowanych]
A , un jeu de mots fait fureur : ne dites pas Goldman Sachs, mais . Cela se prononce de la même fa?on, mais le verbe "sack" signifie "piller", "mettre à sac". La banque était déjà soup?onnée d' pillé l'Etat lors du "grand renflouement" bancaire de la fin 2008, en obtenant de mirifiques du TARP, le plan public de sauvetage du secteur financier de 700 milliards de dollars (525 milliards d'euros) mis en place par l'administration Bush. La voilà accusée d' pillé ses clients.
L'OPINION PUBLIQUE FAVORABLE ? UN CONTR?LE ACCRU DU SYST?ME FINANCIER
Il en va de même à l'échelon . Que peuvent ses missi dominici comme l'Allemand Otmar Issing, le Fran?ais Charles de Croisset ou l'Italien Mario Monti, face à l'hostilité d'Angela Merkel, de ou de à l'encontre de "la firme" ?
Dans son récent ouvrage, Short, centré sur le "double jeu" de ceux qui ont anticipé l'effondrement des titres [link widoczny dla zalogowanych] subprimes, rapporte l'histoire de trois jeunes traders, Ben, Charlie et Jamie, qui avaient découvert le pot aux roses. "Plus on comprenait [link widoczny dla zalogowanych] ce que les CDO (les titres financiers au de l'affaire GS) étaient en réalité, plus on pensait : merde, c'est dingue, tout [link widoczny dla zalogowanych] ?a est une fraude. Peut-être est-ce improuvable devant une cour de , mais c'est bien de la fraude", raconte Charlie.
Que [link widoczny dla zalogowanych] pèse son londonien, Lord Griffiths, ex-conseiller de Margaret Thatcher, face aux attaques anti-City des trois grands partis durant la campagne électorale en Grande- ? Et dans les pays émergents comme la , une série d'affaires, en particulier dans le domaine pétrolier, lui ont mis à dos la puissance publique.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles [link widoczny dla zalogowanych] réservés du Monde.fr en
ENVIRONNEMENT BOULEVERS? PAR LA CRISE
Mais la chute de l'image de GS tient aussi à des problèmes plus anciens, qui ne tiennent pas qu'à la légendaire arrogance de ses dirigeants et personnels. De banque d'affaires classique, GS s'est progressivement transformée en maison de négoce.
Sur la régulation financière à aux Etats-Unis, Goldman s'est démené pour ses desiderata à l'équipe Obama, doublant en six mois ses dépenses de lobbying hostile à une régulation sévère - avec un succès mitigé. Ainsi n'a-t-elle pas [link widoczny dla zalogowanych] obtenu de garanties sur l' des produits dérivés, la vache [link widoczny dla zalogowanych] à lait de la banque. Le pouvait-elle, alors que selon un sondage, publié lundi 26 avril, l'opinion américaine soutient à 65 % un renforcement drastique du contr?le du système financier ?
Toute la maison en a été modifiée. Brusquement, les banquiers stars de Goldman à forte poigne - le duo Lloyd Blankfein-Gary Cohn aux Etats-Unis, Michael Sherwood à Londres ou Alexander Dibelius, surnommé "Goldfinger", à Francfort - apparaissent non seulement brutaux, mais suffisants. M. Blankfein n'a-t-il pas jugé "l'oeuvre de Dieu" ?