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ZTE ABANDONNE LE RENSEIGNEMENT

GARANTIR LA S?CURIT? NATIONALE
Cette vente peut aussi s' par la santé fragile de l'entreprise, qui annonce une baisse de ses bénéfices de 1,75 milliard de yuans (environ 214 millions d'euros) sur les trois premiers trimestres, par rapport à 2011. En conséquence, les plus hauts cadres de l'entreprise de moitié, tant que l'entreprise ne renouera pas avec la croissance. La confiance des Etats étrangers dans leurs matériels réseaux sera s?rement déterminante dans cet objectif.
Les autorités recommandent pourtant [url=http://sszj.tcsyxx.net/tcsyxxnw/guestbook.asp]doudoune m[/url] de ne pas les routeurs de Huawei – des machines jouant un r?le central dans le fonctionnement d'un réseau informatique –, qui seraient affectés par de nombreuses vulnérabilités logicielles. Selon Reuters, l'enquête n'a pas déterminé si leur présence est intentionnelle ou non.
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Egalement visée par les suspicions d'espionnage chinois, la firme ZTE a décidé, fin septembre, de les parts qu'elle détenait dans ZTE (ZTEsec), sa filiale spécialisée dans le renseignement. L'entreprise vend ainsi à dix investisseurs 68 % des parts de l'entreprise, pour un montant compris entre 360 et 440 millions de yuans ( entre 44 et 54 millions d'euros).
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se veulent plus rassurantes. Selon deux personnes proches de l' citées par , aucune preuve tangible ne permet de que Huawei ait participé à des opérations d'espionnage. Des s américaines affirment régulièrement [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] l'objet d'attaques informatiques provenant de , ce qui a instillé le doute autour des matériels construits par les géants chinois.
Plusieurs autres pays, dont la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] France, sont réticents à les deux sociétés s' profondément dans leurs réseaux. Pour les , Huawei insiste sur le lobbying et multiplie les partenariats public privé, dans le but de la sécurité de son matériel.
Le rapport du Congrès américain recommandait d' tout contrat ou acquisition aux deux géants chinois des télécoms, Huawei et ZTE. Pour de nombreux observateurs, ces entreprises privées seraient liées à [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]hollister La nouvelle fusée j[/url] l'Etat chinois – sans que cela [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%3C/bbs.cgi]woolrich outlet Why Videos Ar[/url] ne soit toutefois évident dans le comportement de ces . Cette proximité se traduirait par l'existence de dans leurs routeurs, très prisés des principaux opérateurs mondiaux. De telles portes faciliteraient grandement l'espionnage des [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] communications d'autres pays pour le gouvernement chinois.
La démarche est d'ailleurs forte au , où la firme a ouvert [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] un de en collaboration avec [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] les de renseignement britanniques. Pour sa part, le gouvernement canadien réfléchit à? d'un marché public pour son futur réseau [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] gouvernemental sécurisé. L'Etat canadien évoque "l'exception de sécurité nationale".
Pour cette enquête de 18 mois, environ mille acheteurs de matériel télécom ont été interrogés, notamment avec l' des agences de renseignements américaines. Selon une des sources de Reuters, "certaines composantes du gouvernement" tenaient réellement à des preuves de la culpabilité de Huawei, ce qui la mène à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] que "nous les aurions trouvées si elles y étaient".
Comme le note le site spécialisé , ZTEsec propose des systèmes de surveillance de réseaux, notamment d'analyse des contenus échangés par [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] le Deep Packet Inspection (DPI), une [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] technologie particulièrement puissante et intrusive. La [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] filiale a été accusée en 2010 d' vendu de tels systèmes au iranien dans un contrat pour des équipements télécom avoisinant les 100 millions d'euros.