Rowery

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Dans le camp des vainqueurs, on trouve JP Morgan et . En tête de liste, les deux établissements ont pu se d' des hausses de dividendes respectives de 20 % et de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] 83 % !
Aujourd'hui, la banque de la C?te ouest profite de sa solide base de clientèle de dép?t - "un atout fantastique", selon - et d'une diversification de ses activités gr?ce à laquelle aucune branche ne peut, seule, toute la banque.
une situation économique dramatique, avec un ch?mage à 13 %, [url=http://www.welcometorealsworld.com/activity/p/287845/]ugg pas cher Retire Early With Financial Planning Dos And Donts[/url] une chute de la [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] de 50 % et une baisse des prix de l' de 21 %. Verdict : quinze établissements ont réussi l'exercice sans problème quand, en 2009, la moitié des établissements avait échoué.
UNE SOLIDE CLIENT?LE DE D?P?T
Une fois encore, le milliardaire, qui détient 7 % du capital de la banque, a confirmé qu'il était un as des affaires. La prudence a permis à Wells Fargo de debout quand d'autres s'écroulaient. Mieux encore de se au plus haut.
Encore peu présente hors des Etats-Unis, Wells Fargo a d'ailleurs prévu de se dans une vingtaine de pays où elle est déjà installée, comme l'annon?ait le le 5 mars.
Certes, la banque souffre de la pression réglementaire, comme tout le monde, et elle s'est fait par les autorités américaines, comme quatre autres banques, pour opéré à des saisies immobilières à grande vitesse. Mais "elle est aujourd'hui correctement capitalisée. Assez pour se développer", estime M. Morford.
La démarche vise à ses clients professionnels, notamment les petites , pour qu'ils n'aient plus à appel à d'autres établissements lorsqu'ils font affaires à l'étranger. "Ce [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] mouvement reste modeste, constate Moshe Orenbuch, analyste chez Credit à . Mais c'est un bon signe." Un de plus.
Pour Wells Fargo, c'est une petite revanche. Avant la crise, la banque de , restée célèbre pour financé [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] conquête de l'Ouest, était quelque peu déconsidérée par rapport aux géants de Wall Street. L'établissement, fondé en 1852 par Henry Wells et William Fargo, réputé pour son conservatisme et sa prudence, s'était tenu à l'écart des produits financiers exotiques comme les subprimes. "Wells n'a jamais été attirée par les gains [url=http://www13.plala.or.jp/white_roots/gwbbs/gwbbs.cgi]isabel marant sneakers A New [/url] rapides et trop risqués", raconte Joe Morford, analyste chez CMC Capital Markets, en Californie. Jusqu'en 2007 il n'y avait guère que Warren Buffett, l'octogénaire à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la tête du fonds Berkshire Hathaway, pour sur cette banque un peu vieux jeu.
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Reste néanmoins quatre cancres qui n'ont pas rempli un ou plusieurs des critères exigés. Parmi eux le géant Citigroup, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] MetLife, et . Pour ces banques, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pas question d' des dividendes trop généreux ou de procéder à des achats d'actions massifs. Une vraie punition. MetLife a d'ailleurs fait part [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] de son mécontentement indiquant que les critères étaient adaptés aux banques, pas à une [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] compagnie d'assurances. Citigroup, elle, a indiqué, plus sobrement, "poursuivre les discussions avec la [url=http://forums.wittysparks.com/discussion/24141/abercrombie-soldes-the-100k-adsense-blueprint-is-actually-what-i-will-be-taking]abercrombie soldes The 100K Adsense Blueprint Is Actually What I Will Be Taking[/url] Réserve [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] fédérale pour ses modèles de résistance aux pertes".
Après remporté en octobre 2008 la bataille face à Citigroup pour s' de Wachovia, l'établissement en déconfiture, Wells Fargo est devenue l'un des poids lourds du marché des dép?ts aux c?tés de Bank of America et JP Morgan. Et les pertes liées aux toxiques, en partie hérités de Wachovia, sont aujourd'hui presque de l'histoire ancienne : en 2011, la banque a fait état de bénéfices en hausse de 29 % à plus de 15 milliards de dollars (11,5 milliards d'euros).

xkekg34fa · Posted: Thu 23:08, 10 Oct 2013 Post subject:

de gendre idéal "en a connu d'autres".
Celui qui s'est allié avec le multimilliardaire au sein d'une entité baptisée pour 14 % du groupe Carrefour (et 20 % des droits de vote) représente aux yeux d'une partie des salariés l'ennemi absolu, le [link widoczny dla zalogowanych] financier vorace dont l'unique objectif est de tant bien que mal à s', quitte à en péril le premier employeur privé (avec 123 934 salariés) en France. "Je ne connais pas la personne, mais les effets de son action. Et, depuis que Blue Capital est chez Carrefour, c'est un désastre", résume Michel Enguelz, délégué national Carrefour pour FO. "Ils se sont approprié l'entreprise alors qu'elle ne leur appartient pas", se désole-t-il. Même colère du c?té [link widoczny dla zalogowanych] des actionnaires familiaux, où Hervé Defforey, fils de Denis Defforey, le cofondateur de Carrefour, affolé de des financiers prêts à le groupe pour des superdividendes, devait s' à la scission et à la cotation des activités de discount du groupe Dia (incluant la marque Ed en France), soumise au vote des actionnaires le 21 juin.
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La communauté financière commence d'ailleurs à sur ce "type super sympa" toujours prêt à vous une place à la tribune du [link widoczny dla zalogowanych] PSG mais finalement moins doué en affaires qu'on ne le disait. Il n'y connaissait rien en foot, "il ne conna?t rien à la grande distribution", "son truc c'est l'", "qu'est-il allé chez Carrefour ?", entend-on dans les déjeuners parisiens, où on ne manque toutefois pas de son "courage".
En cette fin juin, le plus gros "emmerdement" de M. Bazin, patron pour l' du fonds d'investissement américain Colony Capital, s'appelle Carrefour, le groupe de grande distribution. L'inventeur de l'hypermarché a fait virtuellement (tant qu'il n'a pas cédé ses titres) à Colony des dizaines et des dizaines de [link widoczny dla zalogowanych] millions d'euros. Le fonds a en effet investi en 2007, lorsque l'action valait environ 50 euros, contre 27 aujourd'hui. Dure déconvenue pour ce spécialiste des culbutes financières, dont le meilleur fait d'armes reste un investissement dans la société foncière Lucia, rachetée 12 euros l'action en 1999 et revendue 70 euros en 2007...
Sébastien Bazin fait plut?t dans l'élégance, à sa manière. Par bonne conscience ou souci du confort visuel ? A Saint-Lunaire (Ille-et-Vilaine), la station balnéaire bretonne bon chic bon genre où il possède une belle maison sur la pointe du Décollé, il a pris la vice-présidence du club de local où ses parents, décédés depuis, se sont rencontrés. Il a aussi racheté la boulangerie et le magasin de fleurs et de décoration, car il "déteste les endroits morts". Chez Carrefour, l'idée serait presque de la même veine bienveillante, visant à "redonner de la fierté" aux dirigeants et aux salariés.
La fusion entre Carrefour et Promodès, en 1999, n'a jamais fonctionné. Carrefour est un groupe trop grand, trop lourd, qui a fait des erreurs comme celle de ses pépites : les surgelés Picard en 2001, ou les murs des galeries commerciales en 2000, sans que l'on sache exactement comment tout cet argent a été utilisé...
Quant à l'immobilier, le spécialiste cherche depuis des années à le en faisant en une partie de Carrefour Property, l'entité qui regroupe les murs des magasins du groupe. Objectif : les patrons des hypermarchés du montant du loyer de leur établissement et les , argue-t-il. Lorsqu'il est arrivé dans le groupe, personne ne savait combien de mètres carrés Carrefour possédait exactement, rappelle-t-il aussi.
Affecté, sans doute, ce fils d'administrateur de biens n'en laisse rien para?tre, affichant une décontraction intacte et une politesse sans faille envers ses interlocuteurs. S'il a fait une erreur, il le reconna?t, c'est d' pensé que le dossier Carrefour était simple et de s'être embarqué juste avant que n'éclate la grave crise de 2008. Pour le reste, il plaide non coupable. Ce grand blond aux yeux bleu piscine n'est pas du genre à ni à son sang-froid.
On les accuse de dépecer le groupe ? Le projet de vente de Dia, l'entité maxi-disconte, était déjà sur la table depuis de longues années et l'activité, dont le siège est en , était devenue un Etat dans l'Etat, qui n'a rien à avec le reste du groupe, explique posément M. Bazin. La scission qu'il souhaite serait donc bénéfique à tous.
Financier sans vergogne, Sébastien Bazin ? L'homme, qui possède son rond de serviette au Fouquet's, sur les Champs-Elysées, assume le r?le d'"enquiquineur", pas plus. "Il est de la race des investisseurs professionnels", insiste , bras droit de M. Arnault, qui le voit trois fois par semaine pour de Carrefour, un sujet qui les agace et les angoisse autant l'un que l'autre. Ensemble, ils font des [link widoczny dla zalogowanych] [link widoczny dla zalogowanych] "virées" dans les hypermarchés du groupe et parlent de la [link widoczny dla zalogowanych] martingale que représentent les produits à marque de distributeurs, les MDD. Pour Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d', comme pour Sébastien Bazin, qui se disent sincèrement dopés, "intoxiqués" même, par Carrefour, l'étiquette de requins de la finance est profondément injuste. A leurs yeux, les déboires du distributeur ne sont pas de leur fait. Le ver était dans le fruit bien avant qu'ils n'arrivent, assurent-ils.
Chez Carrefour, ce gar?on [link widoczny dla zalogowanych] bien né, issu du triangle parisien Auteuil-Neuilly-Passy, veut réussir là où d'autres ont échoué. Pour lui comme pour Bernard Arnault, pas question de perdant. Gare [link widoczny dla zalogowanych] aux obstacles. Coupeur de têtes, le financier a contribué à José Luis Duran chez Carrefour, comme Charles Villeneuve au PSG ou Jean-Marc Espalioux chez Accor, tout en parvenant à se avec la plupart de ces ex-patrons qu'il appelle toujours par leur prénom. A tel point que Capital parle de "l'amicale des remerciés" par Sébastien Bazin. "Dans le business, parfois, il faut . J'ai l'impression qu'il le fait proprement", résume un de ses proches. "C'est la vie des affaires", signale aussi son ami Patrick Sayer, patron de la société d'investissement Eurazeo, qui a réalisé avec lui plusieurs [link widoczny dla zalogowanych] affaires. M. Bazin, qui ne guillotine pas pour le plaisir, assure ainsi qu'en dépit des méchantes rumeurs sur le départ de Lars Olofsson, l'actuel [link widoczny dla zalogowanych] patron de Carrefour, celui-ci est l'homme de la situation et qu'il faut lui du temps.
M. Bazin serait-il un bienfaiteur [link widoczny dla zalogowanych] du CAC 40 ? Aux c?tés de [link widoczny dla zalogowanych] Bernard Arnault, dont la réputation n'est plus à , ce père de quatre enfants, catholique convaincu, passerait presque pour un "gentil". Mais l'homme a beau être un peu à part dans le monde des financiers, il reste davantage préoccupé par la tendance de la Bourse et la rentabilité de ses propres affaires que du sort des salariés. "Il est libéral, il n'y a pas de doute, et n'est pas rongé par la culpabilité", confirme son ami l'architecte Roland Castro, ex-maoiste, qui l'a rencontré lors d'un projet immobilier de Colony dans le quartier de la . "Je voudrais que le système dans lequel il navigue (la finance) se casse la figure, mais lui, je l'aime bien", plaisante-t-il.
Dans le cercle privé, tout le monde est, de fait, assez d'accord pour que Sébastien [link widoczny dla zalogowanych] Bazin est un gar?on sympathique. "Un gars loyal", à en son cercle de fidèles. Son copain Emmanuel Chain, journaliste et producteur de télévision, qui le conna?t depuis de nombreuses années, le décrit comme quelqu'un sur qui on peut , un chef de tribu pas vraiment du d'un golden boy de suffisant, vulgaire et léger.
Capable de d'un air détaché qu'il a fait la connaissance de "à la maternelle" de Neuilly... lorsque sa fille a été prise en otage avec d'autres bambins par "Human Bomb" en 1993, il semble prêt à tout avec une confiance proche de la foi, persuadé que "tout finira par s'arranger". Aussi, le presque quinquagénaire [link widoczny dla zalogowanych] s'apprêtait à dans la sérénité la colère des petits actionnaires et des syndicats, qui ont promis de en bloc place du Palais-Royal, à Paris, en face du Carrousel du Louvre, contre le "démantèlement du groupe", lors de l'assemblée générale du distributeur, mardi 21 juin.
"Sébastien Bazin se présente souvent comme une victime", explique un ancien grand patron qui a eu affaire à lui il y a quelques années. "Il sait bien les choses, il est très habile. Au final, il est difficile de lui résister", poursuit-il.
S'il n'est pas aussi carnassier que certains de ses homologues, M. Bazin n'en est pas moins habile. A la tête de la division Capital depuis 1997, en grande partie par admiration pour , le patron californien du fonds, qu'il appelle "Tommy", il a su se indéboulonnable en prenant part au capital du groupe américain - le montant de cet investissement n'a pas été révélé. Autrement dit, M. Bazin sait ses arrières pour à ses fins. Assez pour Carrefour ?