Author Message
xkekg34fa
PostPosted: Sun 7:38, 22 Sep 2013    Post subject: barbour paris Létrange omerta des médias s

A la parution du livre, les médias, quoique diserts sur l'ensemble du livre, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] se sont montrés plus que discrets sur les informations concernant . Bien s?r, il e?t fallu le cas échéant vérifier, plus loin les enquêtes. Beaucoup, là encore, ont préféré le commentaire au scoop. Comme en témoignent les taux d'audience ou les ventes des médias qui privilégient les révélations, le journalisme pla?t lorsqu'il nous révèle le monde, les gens, plut?t que de devant nos yeux et nos oreilles un de [url=http://pipous.com/Konice61u95/blog/30122/]hollister pas cher Dans lUE ou ailleurs, laustér[/url] logorrhée subjective.
de la vérité, pas plus que les sermons ne prédisent l'. Pour de la vie , les fran?ais alignent traditionnellement une cohorte d'éditorialistes, rebaptisés depuis peu "commentateurs", là où les Anglo-Saxons, avec tous leurs défauts, préfèrent leurs enquêteurs pour au public le maximum de révélations. Or de la soif de vérité factuelle les démocraties ne se portent jamais mal.
Depuis dimanche 15 mai, j'ai décliné toutes les propositions d'interviews, ne voulant pas mes commentaires à ceux de spécialistes n'ayant rien vu, rien su, rien lu, ni sur la séduction en politique (hors sujet), ni des informations publiées il y a cinq ans.
Se de les rumeurs, tel est notre . Les se sans la curiosité de les vérifier est une erreur. Nous devons la décence commune, comme dans le poème de Rudyard Kipling, Tu seras un homme mon fils, de d'un même front "deux menteurs", le triomphe et la défaite, et ne pas d'un seul mot. Le r?le des journalistes ne [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] consiste pas plus à Dominique Strauss-Kahn qu'à office de témoins de moralité, il consiste à au plus près de la vérité, sans jamais considérer qu'un -verbal même avec un tampon officiel, est une parole d'Evangile, sans jamais nous non plus à ne pas faute d' cherché.
L'affaire Strauss-Kahn, un personnage porté [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] aux nues soudain écrasé sur le mur de l'actualité, risque d' encore les traumatismes psychologiques de la France. Le pays a pris l'habitude de , mais si l'on regarde bien, plus que de ses blessures réelles, le pays souffre d'un sentiment d'iniquité, d'un déni de réalité et d'un défaut de sens. Les journalistes, qui contribuent à l'organisation du débat public, doivent y réfléchir avant qu'il ne soit trop tard.
Mais une nouvelle fois l'actualité nous oblige à la question de l'utilité des journalistes. A quoi servent-ils ? Certains citoyens considèrent, non [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] sans raisons, que certains d'entre nous (pas la plupart, mais certains parmi les plus influents) tentent d' leurs vues plut?t que de nous et finissent par une classe à prétention dominante. Une sorte de classe politique bis libérée des difficultés de l'action mais jamais privée de parole. Une classe médiatique qui n'agit pas (r?le des politiques), ne cherche pas la vérité (r?le des journalistes), mais ratiocine. Faut-il aux humoristes le monopole de la révélation ?
A les professions de foi d'un quarteron d'éditorialistes depuis des mois, inutile d' , les sont faits pour 2012. Au second tour, ce sera Sarkozy-DSK. L'un des commentateurs politiques les plus célèbres, doyen doté de l'ubiquité médiatique, avait [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] jugé bon il y a cinq ans d' Ségolène Royal dans un livre sur les candidats à la présidentielle. Fort de sa certitude d' raison contre le réel, il vient de le couvert, à l'envers, en affirmant que la candidature de Dominique Strauss-Kahn est de loin la meilleure, la plus "raisonnable", bref la seule. L'éditorialiste devenu militant. Dans d'autres métiers, à ce prêcheur doté d'une singulière capacité à les erreurs, on aurait poliment proposé une retraite méritée.
La démocratie fran?aise a besoin d'une sérieuse cure d'un remède inventé par un Britannique, , la "common decency" : la décence [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] commune, une morale [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] de la simplicité et de l'honnêteté. Elle devrait s' aux politiques, aux "intellectuels", [url=http://ietter.com/view/post:4387710]woolrich outlet Sahara occidental la France cont[/url] autant qu'aux journalistes. La décence commune en l'espèce, c'est le respect des personnes, bien entendu, mais surtout le refus de l'hypertrophie verbale, une obsession de la soumission aux faits. Cette décence devrait le commentaire vaseux qui se croit libre parce qu'il ne s'autorise que de lui-même.
Les médias doivent-ils le pied sur les révélations, afin d'éviter un accident électoral, ou au contraire accélérer en plein carrefour ? C'est une question essentielle pour la démocratie. un coup de frein serait une faute de conduite, avec le risque de le sentiment qu'on protège le "système". Bien , pour un journaliste, c'est vite sans de coups [url=http://forum.jusonauten.org/discussion/18956/hollister-sale-lavenir-noir-des-centrales-au-charbon]hollister sale Lavenir noir des centrales au charbon[/url] de volant. En tout cas, le dérapage incontr?lé "lécher, l?cher, lyncher" nous fait la sortie de route.
[url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] est l'auteur de Sexus politicus (Albin Michel, 2006).
En 2006, je fus l'auteur avec d'un livre d' sur le caractère aphrodisiaque du , Sexus politicus (Albin Michel), qui traitait aussi des coups bas sous la ceinture dans la vie politique. Pour la première fois, un chapitre intitulé "L'" évoquait le comportement hors normes de celui qui n'était pas encore directeur général du FMI, et révélait ses risques inconsidérés pour un homme [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] d'Etat, ses vulnérabilités. Les racontées ne relevaient pas que de la séduction de salon. Ce chapitre avait valu à notre éditeur et à nous-mêmes d'intenses pressions, vu le caractère sensible des informations.
Si [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] demain les Fran?ais, lecteurs ou électeurs, nous accusent une nouvelle fois d' gardé un secret entre soi, d' accepté chez les puissants ce que nous refusons aux humbles, que leur répondrons-nous ? Que nombre d'entre nous ne savaient pas ou n'ont pas cherché à ? Nous ne pouvons pas aux citoyens des raisons de que nous leur mentons, même par omission. Il ne s'agit pas ici de l'affaire de la chambre [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] du Sofitel, simplement d', une fois encore, que nous devons l'ambition de rien que la vérité, mais [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] toute la vérité.
En publiant Sexus politicus, Christophe Dubois et moi avons transgressé un tabou. Le fallait-il ? La question mérite débat, et il est parfaitement concevable de s' sur le principe. Introduisions-nous en France les méthodes du journalisme anglo-saxon et/ou crevions-nous une bulle de secrets privés ? Les lecteurs, y compris les responsables politiques, par leur nombre et leurs réactions, ont manifestement considéré que le dévoilement était légitime, notamment si on ne le recouvrait pas d'une couche de morale.
SE DE LES RUMEURS

Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group