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Posted: Wed 19:52, 18 Sep 2013 Post subject: hollister Acheter des uvres dart dun simple clic |
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Pourquoi un tel engouement ? Dans notre société de plus en plus normalisée, où nous dormons [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Ikea et roulons en voiture de bon ton (près de 7 véhicules sur 10 en sont noirs, argent ou blancs), "l'art [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] est le dernier coup de canif dans le contrat [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] . C'est un accident heureux. Quelque chose de brutal qui apporte du plaisir", avance M. Ehrmann. Un chemin de traverse séduisant et [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] peu risqué que l'on peut désormais en quelques clics.
De Nantes, Stéphane Pelissier choisit plut?t des enchères en direct (appelées "live") qui lui donnent le frisson du clic décisif : cet informaticien fréquente tout autant le site australien LiveAuctionneers que le fran?ais Interenchères pour , par caméras interposées, les ventes de commissaires-priseurs. "Internet facilite l'accès aux objets du monde entier. Mais il faut toujours une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] calculette en tête pour en sus du prix les frais d'achat et de transport", nuance ce quadra. Un objet acheté 50 sterling (62 euros) lui a ainsi co?té 100 euros. Des ventes virtuelles, certes, mais dont la logistique est bien réelle !
l'anonymat, fait un tour sur Expertissim, le jeune site de vente d'art. "Les objets nouveaux sont mis en ligne à la mi-journée. C'est plaisant, un peu comme si j'allais les antiquaires", raconte-t-il. Tableaux du [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] XVIIe, bronzes... Ce collectionneur assouvit désormais sa passion d'un clic. "Les prix, estimés par des experts, diminuent semaine après semaine jusqu'à leur fourchette basse. Avec ce [url=http://www.fxsbz.com/forum.php?mod=viewthread&tid=40221&extra=]www.achbanker.com/home.php Cleaning Services For Hire May Be More Economical[/url] système, on ne fera pas une affaire extraordinaire, mais c'est sérieux", dit-il.
A priori, Internet est considéré comme un canal idéal pour les "petits" achats. Expertissim s'est ainsi fixé une limite. "Dès que l'objet expertisé dépasse 20 000 euros, nous le dirigeons dans une salle des ventes", explique , son fondateur. Mais les récents records de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] Christie's live montrent que les esprits s'échauffent aussi par écrans interposés : 3,3 millions de dollars (2,6 millions d'euros) ont été déboursés par un internaute pour un bronze chinois, 1,4 million [url=http://www.jhwbus.com/jiaoliu/forum.php?mod=viewthread&tid=1296&fromuid=137]ugg pas cher Les Pays-Bas dénoncent des cris de singe lors dun entraînement[/url] pour un collier en diamant. Des sommes également atteintes sur les nouveaux sites : une sérigraphie d' s'est ainsi vendue sur Artnet en juillet 2011 à 1,4 million de dollars.
Parallèlement, le profil des acheteurs se modifie. Sur le seul marché du "fine art" et contrairement aux re?ues, "la moyenne d'?ge des acheteurs est passée de 52 ans à 34,5 ans entre 1987 et 2011 et 51 % des oeuvres vendues sont à moins de 1 000 euros", poursuit M. Ehrmann. Des objets désormais convoités par la "génération " : bon nombre de trentenaires et quadras ont découvert le principe des enchères en ligne sur le site américain et veulent ce savoir-faire pour des achats plus importants. Sans à acquérir ces fameux codes (vestimentaire, de langage, de comportement...), apanage des habitués des salles des ventes. Cette liberté numérique "attire une clientèle plus jeune et moins frileuse", témoigne , directrice générale d', site allemand d'enchères en [url=http://halcyondigest.com/forum/index.php?p=/discussion/22090/louboutin-five-suggestions-to-managing-your-small-enterprise]louboutin Five Suggestions To Managing Your Small Enterprise[/url] ligne.
Cette évolution virtuelle réserve d'ailleurs des surprises. L'expansion territoriale occidentale, notamment au XIXe siècle, a permis à la France [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] et au de des pays de collectionneurs. Signe des temps et d'un nouvel équilibre des pouvoirs, les sites Internet constatent l'arrivée d'une clientèle chinoise voulant en ligne les objets ayant quitté précipitamment leur territoire national. Le jeune site Expertissim propose, donc, depuis juin, son site... en mandarin.
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CLIENT?LE MOINS "FRILEUSE"
La récente modification de la législation – en juin 2011 – change également la donne. "Il est désormais possible de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] du courtage d'art en ligne sans régulation", explique Catherine Chadelat, présidente du conseil des ventes volontaires, chargé de la régulation du marché. Un coup de canif dans le statut de commissaire-priseur qui permet donc à Artprice, depuis janvier, d' à la manière d'eBay des enchères en ligne sans de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] tiers de confiance qui garantisse l'expertise. Son concurrent, l'allemand Artnet, ne dépendant pas du droit fran?ais, proposait déjà ce service depuis 2008.
Cette demande croissante pousse les acteurs fran?ais à s' : Drouot Live a été lancé en 2009, puis sont apparus en 2011 auction.fr Live, Le Figaro Enchères (associé au britannique Antiques Trade Gazette et son site the-saleroom) puis Interenchères Live. Les maisons de ventes commencent à sur et , comme les commissaires- priseurs à Villefranche-sur-Sa?ne et à Besan?on. Drouot Live annonce "l'application d'enchères pour smartphones et tablettes pour septembre", ajoute , directeur général du groupe Drouot patrimoine.
La vénérable société Christie's veut de ce nouvel appétit en ligne. Pour la vente des bijoux d'Elizabeth Taylor, en décembre 2011, l'entreprise a proposé une vente classique (en salle, en ligne ou par téléphone), mais aussi un millier d'objets plus modestes uniquement sur Internet : 57 000 enchères furent passées par des internautes de 29 pays. Et au final, 54 % des acheteurs en ligne étaient de parfaits inconnus pour Christie's. L'entreprise prévoit de l'expérience par deux ventes similaires d'ici à la fin de l'année.
Henri et Stéphane sont deux spécimens d'une nouvelle espèce : les amateurs d'art en quête de sensations en ligne. "A la fin de la seconde guerre mondiale, le marché intéressait [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] 500 000 grands collectionneurs. Désormais, on compte 450 millions de "consommateurs d'art" tels que les nomment les sociologues américains", estime , fondateur d'Artprice, l'argus de l'art qui propose depuis janvier des enchères en ligne. Par art, entendez le "fine art", c'est-à-dire des pièces signées par un artiste [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] (tableaux, statues, photos...), auxquelles il faut le mobilier, les montres, la joaillerie, etc. Désormais, "on estime qu'entre 7 à 10 % des ventes d'art dans le monde se font par Internet", affirme , PDG monde de la maison de ventes Christie's.
MODIFICATION DE LA L?GISLATION |
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