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Posted: Mon 13:50, 16 Sep 2013 Post subject: louboutin Les pérégrinations du staphyloco |
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L'enjeu était de si la méthode rendait possible un "zoom avant" et un "zoom arrière" entre les échelles mondiale et individuelle. En établissant l'arbre généalogique de l'une des souches (TW20) et en regardant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] les sites du génome bactérien portant une variation unique, les chercheurs ont fait plusieurs constats. A une exception près, les échantillons d'Amérique du Sud (, , et ) correspondaient étroitement [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] avec un sous-type de SARM, ce qui pourrait l'expansion d'un même variant sur ce sous-continent. Malgré une diversité supérieure, les souches isolées en Tha?lande et en semblent bien à un même sous-type "asiatique". La diversité des souches présentes en reste cohérente avec une origine européenne possible pour l'une des souches de SARM le plus souvent retrouvées.
Les techniques couramment employées pour les différentes lignées de bactéries pathogènes reposent sur l'analyse de certaines séquences de l'ADN. Elles ne permettent pas de définir avec suffisamment de précision les relations entre elles. En utilisant une nouvelle méthode de typage avec des séquenceurs capables d' l'ensemble du génome bactérien, Simon Harris et ses collègues ont réussi à la totalité des modifications se produisant aussi bien dans le cas de transmission d'un continent à l'autre de souches de SARM, que lors du passage d'un individu à un autre au sein du même établissement de santé.
"On connaissait les capacités de plasticité génomique des bactéries, mais ce qui est nouveau, c'est la possibilité de mettre en évidence cette microévolution gr?ce aux nouveaux outils de séquen?age haut débit", indique Fran?ois Vandenesch ( national de référence des toxémies à staphylocoques).
Sur le plan pratique, [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi?mode=view&no=927176&res=1&page=400]woolrich parka La survie du c[/url] "à l'h?pital, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] [url=http://turtle.or.jp/cgi-bin/aska.pl/otto/kreger/aska.pl%2B/space.php%253Fuid%3D%2Boakley%26tbs%3Dqdr:w%26ct%3Dclnk]hollister Free MMORPG Games T[/url] rien [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] ne remplace le lavage des mains", confirme Fran?ois Vandenesch. Formalisées en France dans le programme de lutte contre les infections à SARM, les mesures prophylactiques sont efficaces. L'évolution dans les établissements de santé entre 2005 et 2008 montre une diminution "estimée à environ 12 % en trois ans, soit 4 % par an en moyenne", selon un rapport de l'InVS. En revanche, la nouvelle méthode [url=http://studio.radube.com/spam/denied]barbour outlet Organizing SPA Hotel Business In Your City[/url] pourrait [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] s' de manière pertinente aux bactéries émergentes et résistantes aux antibiotiques, par exemple celles de la des entérobactéries. "Ce type de souches est plus fréquent autour du bassin méditerranéen, en particulier en ", indique Bruno Coignard.
Les auteurs de l'étude considèrent que "ces observations montrent un nombre limité d'événements de transmission intercontinentale effective et l'expression de variants (dérivant d'une même lignée) qui, dans certains cas, sont devenus dominants dans leur nouvelle région géographique". Ils voient deux applications possibles de leur travail : détecter ces nouvelles apparitions et des interventions renforcées pour contr?ler les infections, comme cela a pu être fait lors de l'épidémie de Londres, et [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] les souches isolées dans un même établissement, en appliquant la méthode d'étude à l'analyse épidémiologique.
Le staphylocoque doré est une bactérie commune, très souvent présente - sans conséquence - sur la peau, mais qui provoque des infections pouvant être graves si elle franchit la barrière cutanée. Certaines souches ont développé une résistance à l'égard de la méticilline, l'un des antibiotiques de choix contre ce type de germe.
Selon les données fran?aises datant de 2006 et présentées par l'Institut de veille sanitaire (InVS), la prévalence des patients infectés par un SARM était de 0,39 %, soit 8 % des patients ayant acquis au cours d'un séjour dans un établissement de santé une infection dite nosocomiale. La fréquence de ces infections est [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] plus élevée dans les de réanimation. Un quart (24 %) des staphylocoques dorés isolés lors d'infections invasives présentaient une résistance à la méticilline.
L'équipe a en effet examiné deux types d'échantillons. "Nous avons 42 prélèvements effectués à travers le monde chez des individus infectés par un SARM [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] entre 1982 et 2003. Le deuxième jeu provient d'un même h?pital du nord-est de la et comprend 20 échantillons de patients ayant développé une infection à SARM dans un laps de temps de sept mois, tous pouvant à [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] une cha?ne de transmission de personne à personne", explique dans un communiqué de l'.
Deux souches, l'une retrouvée au Danemark et l'autre à l'origine d'une épidémie ayant duré deux ans dans un h?pital londonien, étaient apparentées à la souche tha?landaise. L' a montré que l'infection au était liée à un patient tha?landais, tandis que celle de Londres, de type TW20, avait son origine en Asie du Sud-Est. L'examen des prélèvements effectués dans l'h?pital tha?landais révèle qu'une mutation en un point du génome se produit toutes les six semaines. Il a également permis de que cinq des vingt prélèvements effectués dans cet h?pital ne divergeaient que par quatorze mutations ponctuelles. Ces échantillons avaient été recueillis chez des personnes hospitalisées dans des services situés à proximité les uns des autres. En revanche, ces services n'étaient pas représentés parmi les prélèvements plus divergents.
"L'intérêt de la transmission des SARM par cette méthode est surtout grand pour la recherche, mais moins évident pour une application au quotidien dans les h?pitaux pour contre les infections nosocomiales", tempère , responsable de l'unité infections nosocomiales et résistance aux antibiotiques de l'InVS. Selon l'épidémiologiste, la fréquence des souches "nationales" fait que "la probabilité d'infection par une souche importée [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] d'un pays étranger est beaucoup plus faible".
l'arbre généalogique d'une bactérie multirésistante aux antibiotiques, fréquemment impliquée dans les infections contractées lors d'un séjour dans un établissement de santé. Dans un article publié vendredi 22 janvier [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] dans l'hebdomadaire Science, les Britanniques Simon Harris et Stephen Bentley (The Wellcome Trust Sanger Institute, Cambridge, ) décrivent comment [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] ils ont reconstitué avec précision la transmission de souches de Staphylococcus aureus (staphylocoque doré) résistant à la méticilline (SARM) entre des patients d'un même h?pital, gr?ce aux plus récentes techniques de séquen?age de l'ADN.
Dans la lutte contre les infections nosocomiales, des pays comme la ont réussi à contr?ler les infections à SARM en réservant l'usage des antibiotiques aux situations où ils sont réellement indispensables. Depuis des années, le taux d'infection à SARM n'y excède pas 1 % de l'ensemble des infections à staphylocoque, contre 24 % en France, 38 % en Grèce, 44 % en , 63 % aux Etats-Unis et 80 % au . Mais il n'y a pas de fatalité ; elles atteignaient 45 % au Royaume-Uni, avant qu'un programme national ne vienne infléchir leur expansion. |
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