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Posted: Sat 19:03, 21 Sep 2013 Post subject: |
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Le moment est venu de réduire celle du haut et de développer celle du bas. Mais comme les Etats sont de plus en plus dépendants de la finance, il semble difficile d' à celle-ci les régulations nécessaires. Il faut donc développer les capacités d'initiative des plus pauvres, de ceux qui paient le prix de la crise alors qu'ils n'en sont pas les responsables.
Jér?me Cahuzac Le sentiment d'impunité nourrit le sentiment d'impuissance. Une banque est en train d'être démantelée, et l'on s'aper?oit que ses principaux dirigeants re?oivent, qui une "retraite chapeau", qui un parachute doré, tandis que l'on fait les contribuables pour l'établissement. Il faut que cela cesse, sinon il y a un risque d'explosion.
Edouard Lecerf En 2008-2009, après la chute de , le citoyen louboutin pas cher de base a eu le sentiment que la crise, que lui-même ressent comme une constante de sa vie quotidienne depuis longtemps, concernait, enfin, "ceux d'en haut". Mais trois ans plus tard, lorsque la crise recommence, le sentiment dominant est que celle-ci est utilisée par "ceux d'en haut" soit comme une excuse pour que l'on se serre encore plus la ceinture, soit comme la justification de leur impuissance. Il y a ainsi une conjonction des "deux crises", celle qui est vécue quotidiennement et celle "d'en haut".
L'Etat doit en force, et ne plus être un Etat "na?f" face aux marchés. On peut à la fois la mondialisation et une politique affirmative pour, par exemple, protéger notre .
Tant que des limites claires ne sont pas posées, ils poussent à bout les logiques à l'oeuvre. Ceux qui ont maquillé les comptes de la Grèce, ceux qui ont créé et promu les produits spéculatifs les plus toxiques, font encore de brillantes . Ni en Grande- ni aux Etats-Unis, aucun banquier n'a été condamné, ni même jugé, pour les malversations ou les négligences commises.
Jér?me Cahuzac Les marchés détestent les crises politiques. Ils sanctionnent la paralysie politique aux Etats-Unis, l'irresponsabilité et la fragilité du de Silvio Berlusconi en , l'indécision européenne sur l'application de l'accord du 21 juillet, l'absence de soutien des dirigeants fran?ais et allemands à l'idée des eurobonds (obligations européennes). Il n'est pas étonnant que les marchés soient "troublés", et qu'ils testent ensuite les pays européens les uns après les autres.
Ce qui est frappant, c'est l'absence de contre-pouvoir face au bancaire. Les ONG n'ont pas les compétences nécessaires, la presse est ligotée par la crise, les analystes, au sein des banques elles-mêmes, sont marginalisés parce qu'ils ne rapportent pas d'argent, les universitaires font leurs recherches par les milieux d'affaires. Il faudrait que les ONG, hollister france les Eglises, les associations reprennent du .
Maria Nowak Il existe deux "finances de l'ombre". Celle du haut, qui nous occupe ici, et qui profite à quelques-uns. Et celle du bas, le microcrédit, qui est ma spécialité, mais qui n'intéresse personne, alors qu'elle concerne quatre milliards d'individus.
Nous sommes à l'heure de vérité, il faut reconna?tre les pertes que nous n'avons pas assumées jusqu'ici. Face aux sinistres successifs, il faut de se des histoires qui sonnent faux et sont anxiogènes, pour l'opinion comme pour les marchés. Les politiques ont beaucoup promis, mais la promesse s'est substituée à l'action. Il faut la politique à l'abri du déni de réalité. Certes, la mondialisation est irréversible. Mais on a beaucoup "laissé faire", alors que nous devons à une communauté planétaire organisée.
Le problème est que les régulateurs ont des moyens dérisoires par rapport à la puissance des banques. Ce qui me préoccupe, c'est d' les moyens de barbour l'économie réelle. Il faut tout cela à plat, aux régulateurs des moyens à la hauteur. Trois ans après la faillite de Lehman Brothers, le marché des CDS [Credit default swaps, produits financiers censés protéger contre le risque de défaut d'un émetteur] n'est toujours pas régulé !
Ce qui est encourageant, c'est que les investisseurs, conscients des risques qu'ils prennent sur ces marchés opaques, sont tentés d' désormais sur des marchés mieux régulés.
Jean Arthuis La gouvernance de l' a été calamiteuse. Dès 2003, on a tordu giuseppe zanotti sneakers le cou au pacte de stabilité, on a laissé la s' dans le déficit. La responsabilité politique est forte. Il faut donc un changement radical de la gouvernance de l'Union.
Marc Roche Attention, le marché n'est pas un jeu de hasard ! Les acteurs financiers ne font qu'accélérer les économiques fondamentales. On woolrich bologna ne peut empêcher les investisseurs de se méfier des Etats dont la dette devient trop forte...
Comment la main vis-à-vis des marchés ?
Il y a toujours eu une tension entre la démocratie et le marché. On peut tout de même que les valeurs de la démocratie sont supérieures aux valeurs du marché. Nous avons assisté à un déplorable effacement de la démocratie face au marché, comme on a vu, en d'autres temps, un déplorable effacement du marché face à l'Etat.
Les marchés menacent-ils la hollister outlet sale souveraineté des Etats ?
Nous observons dans nos sondages, et c'est nouveau, une convergence entre la perception de la gravité de la crise pour soi-même et la perception de sa gravité "pour le pays", ou "pour l'économie", qui était traditionnellement plus forte. De plus, la méfiance par rapport aux dirigeants atteint des sommets, tout comme l'angoisse du lendemain - liée au sentiment que la crise va altérer le système de protection sociale.
Philippe Aghion Les marchés demandent, contrairement à ce que l'on croit, plus d'Etat, des Etats plus forts. Lorsque les Etats-Unis sont dégradés, c'est parce que l'opposition entre républicains et démocrates paralyse la politique budgétaire. Les marchés sanctionnent également le manque de coordination politique entre les Etats de la zone euro.
La désolidarisation potentielle par rapport aux autres Européens - on demande : "Faut-il pour Athènes ?" comme l'on demandait : "Faut-il pour Dantzig ?" en 1939 -, ou par rapport aux autres catégories sociales - "Pourquoi devrais-je me la ceinture, plut?t que les autres ?" - est aussi au plus haut. Ces sujets, ces craintes, ces attentes structureront le débat des mois qui viennent.
Ceux qui sont contre la mondialisation en dénoncent les risques pour l'environnement, l', la protection sociale. La question est donc : comment se protéger contre ces risques ? Pas en se refermant, car toute économie fermée finit par décliner. Mais plut?t en innovant, en fabriquant de meilleurs produits que les autres, et en s'assurant mieux contre les risques : la flexicurité contre le ch?mage, la taxation du carbone contre la dégradation de l'environnement.
Le problème est que les frontières des Etats et des marchés ne correspondent hollister france Obama veut s plus. Mais ce n'est pas une raison pour ne rien et que les dix-sept Etats de la zone euro se mettent d'accord. Il faut que des pays comme la France et nike air jordan pas cher l'Allemagne prennent le risque, car c'en est un, de l'exemple de la régulation. C'est le r?le des politiques. est la pire des solutions.
Le coin de ciel bleu, c'est, pour moi, que les gens commencent à en marre. Les "Indignés", le printemps arabe... On commence à que l'on est arrivé à la fin, non pas de l'économie de marché ou du libéralisme, mais d'un capitalisme fou qui ne profite qu'à quelques-uns.
Le problème viendrait donc de la mauvaise gestion de la crise de la dette ?
Marc Roche Au coeur du problème, il y a le sentiment d'impunité des acteurs financiers eux-mêmes. Le grand argument des financiers contre toute régulation est de que ce qu'ils font est trop compliqué, et que " ne pouvez pas comprendre", alors qu'eux-mêmes ne comprennent pas ce qu'ils font...
Erik Izraelewicz : Comment l'opinion per?oit-elle le retour de la et économique ?
Il devient malheureusement de plus en plus difficile d' la solution du "saut fédéral", alors que les populations l'auraient acceptée il y a un an. Maintenant, c'est trop tard. L'alternative est désormais : soit la Grèce rembourse, mais ce sera avec l'argent des contribuables européens ; soit elle fait défaut, mais les investisseurs ne feront alors pas de détail dans la zone euro.
Philippe Aghion Si les Etats sont soumis au marché, c'est parce qu'ils ont fait appel à lui ! Or, ils peuvent s'en s'ils savent se . C'est ce qu'ont fait les pays scandinaves après subi une grave crise financière dans les années 1990. Ils ont certes régulé les banques, mais ils se sont aussi astreints à l'équilibre budgétaire pour des politiques contra-cycliques : l'économie quand elle va mal, les dettes quand elle va bien.
Philippe Aghion Les nouvelles règles prudentielles de B?le 3, le rapport Vickers (pr?nant de nouvelles régulations à la City), représentent tout de même des progrès. Mais le problème est que l'innovation financière contourne sans cesse la réglementation, c'est une course infinie. D'où l'importance du débat sur la capitalisation des banques, puisqu'il s'agit de les à une plus grande part des pertes éventuelles. La question est de jusqu'où il faut dans ce sens.
Jér?me Cahuzac On peut difficilement que les dép?ts bancaires des particuliers et des servent encore à des effets de levier sur les risqués des banques d'affaires, malgré les le?ons de la crise de 2008. Il faut séparer l'activité des banques de dép?t et des banques d'affaires, Roosevelt l'avait fait, hollister Obama l'a ugg pas cher fait, quoique imparfaitement. Je sais qu'aucun banquier ne voit ?a d'un bon oeil, mais ?a serait nécessaire.
Il ne faut pas que l'on s'exonérerait des effets d'un défaut de la Grèce, y compris sur les populations, si on la laissait . En 1938 et 1939, les dirigeants européens n'ont pas voulu pour Dantzig ou pour les Sudètes, et ils ont eu et le déshonneur et la guerre, pour Winston Churchill. Evitons de nous déshonorer, et de encore plus nike air jordan pas cher La volatilité des marchés reste forte, les robots traders sont pointés du doigt cher par la suite.
Jér?me Cahuzac Nous nous sommes abandonnés à la tyrannie des marchés. Trop sollicités, les marchés ont eu leur mot à ! D'où la nécessité pour les Etats de se désendetter, non par orthodoxie économique, mais pour leur souveraineté. Etre endetté n'est pas en soi catastrophique, le problème est de la capacité de , d'éviter le moment où l'on emprunte pour ... les intérêts de la dette.
Jean Arthuis L'Etat étant devenu l'assureur systémique, plus une banque est grosse, plus elle se sent protégée. Normalement, une banque doit d' dans l'activité économique. Mais là, on gagne de l'argent avec l'argent, et pas avec l'économie réelle. La cupidité et l'inefficacité du régulateur ont fait le reste : les ressources des investisseurs ont été captées par la sphère financière.
Nous avons invité des banquiers à cette table ronde, mais aucun n'a souhaité être présent, jugeant sans doute que le était peu propice... Pourquoi les Etats ne parviennent-ils pas à réguler la finance ?
Ces pays connaissent ainsi une forte croissance au sein de l'économie mondialisée. Ils ont maintenu un haut niveau de qualité des publics tout hollister en en abaissant les co?ts. Mais ils ont aussi une fiscalité juste, où les riches sont imposés à 50 %, et pas à 20 %, une démocratie avancée, où des et des politiques indépendants contr?lent les choix ciblés et transparents des barbour paris politiques publiques. Le marché est utile lorsque l'on sait en les risques.
Il faut que le capitalisme fasse sa perestro?ka, car il est arrivé au même stade que le communisme quand il l'a faite, c'est-à-dire qu'il ne fonctionnait tout simplement plus.
Jér?me Cahuzac Le cas grec n'a pas été traité à temps : à chaque étape, on n'a solutionné que la moitié du problème, qui a pris ainsi une woolrich parka Les Bouffes du Nord sauvent en partie leur subvention ampleur croissante. Si l'on avait réagi au moment où c'était encore un problème mineur, en mettant d'accord la France et l', le co?t du sauvetage aurait été bien moindre que ce qu'il est devenu aujourd'hui nécessaire de .
Jean Arthuis La taxe sur les transactions financières, par exemple, existe déjà dans le code général des fran?ais, mais il y est dit qu'elle sera appliquée... quand tous les autres Etats l'appliqueront. Le risque, si on l'applique localement, est de les opérations financières se www.vivid-host.com/barbour.htm ailleurs. Il faudrait une démarche volontaire de tous les gouvernements européens, plus les Américains.
Etaientr présents , directeur général de TNS Sofres?; , correspondant du Monde à Londres?; , professeur à Harvard et à l'Ecole d'économie de Paris?; , député (PS) de Lot-et-Garonne et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale?; Jean Arthuis, sénateur de la Mayenne (Alliance centriste) et ancien président de la commission des du sénat?; , fondatrice de l'Association pour le droit à l'initiative économique (ADIE) et Erik Izraelewicz, directeur du Monde.
Une nation est-elle encore indépendante quand son Etat est surendetté ? La mondialisation a conduit nos pays à échapper, via les délocalisations, leur substance productive pour s' dans le confort de la , tandis que d'autres Etats devenaient producteurs de ce que nous consommons à crédit. D'un c?té les dettes souveraines, de l'autre les fonds souverains.
Le G20 a claironné qu'il allait les paradis fiscaux. Mais chaque pays protège le sien ! Les Etats-Unis le Delaware, la Grande-Bretagne les ?les Anglo-Normandes, la France Andorre, la Hongkong, etc. Et quand LVMH lance, tout récemment, son OPA sur Hermès, les fonds mis en oeuvre sont immatriculés à Panama...
, se sont interrogés sur les moyens, pour les gouvernements, de mieux gérer les risques liés au poids pris par la sphère financière dans la conduite des affaires économiques. |
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Posted: Wed 8:54, 11 Sep 2013 Post subject: moncler outlet BlackBerry tente son grand retour |
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Ce nouveau système d'exploitation s'adresse d'abord aux "ultra-connectés". Le "Hub", auquel on peut accéder à tout moment, regroupe mails, SMS, BBM (le service de messagerie instantanée de RIM) et .
Il n'a pas su s' à la course à l'innovation menée par ses principaux concurrents, et les rumeurs de rachat, total ou partiel, se répandent.
Le Monde.fr a le plaisir de vous [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] la lecture de [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Dans une salle de réunion du siège de la société situé à Waterloo (Ontario) - au coeur de la région des -, le patron allemand du groupe t?che de se convaincant. Une sorte de répétition générale donc.
Il est vrai que, mercredi 30 janvier, il doit présenter à deux téléphones - l'un avec clavier, l'autre sans - fonctionnant avec le nouveau système d'exploitation BlackBerry 10. Même s'il s'en défend, il s'agit s?rement des deux dernières cartes que l'entreprise a encore en main.
Quand M. Heins a rejoint BlackBerry en 2007 - il était auparavant chez Siemens -, le groupe canadien était considéré comme l'un des fers de lance du secteur des télécommunications. Mais en quelques années, ce pionnier [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] des smartphones a perdu de sa superbe. Sa part de marché dépasse à peine les 4 %, selon le cabinet d'études IDC.
qu'il s'agit de notre dernière chance", assure Thorsten Heins, grand monsieur à lunettes, et PDG de Research in Motion (RIM), le fabricant canadien du .
Les nouveaux BlackBerry ont justement été con?us pour le tir avec, enfin, un écran, un appareil photo, un clavier tactile et un navigateur Internet dignes des standards actuels. "L'époque où le directeur informatique imposait les terminaux dans l'entreprise est révolue, reconna?t le patron de [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] RIM. Nous devons être attractifs pour les utilisateurs."
Avec BlackBerry 10, la société de Waterloo introduit une plate-forme entièrement tactile. La navigation est entièrement repensée : elle s'effectue désormais en glissant le doigt de bas en haut ou de gauche à droite. "Nos tests ont montré [url=http://irgaming-team.site11.com/index.php?file=Guestbook]moncler sito ufficiale Les militants du climat restent m[/url] qu'une heure seulement est nécessaire pour s'adapter", assure , chargé de l'expérience utilisateur.
Pour les développeurs, la société garantit à certains d'entre eux [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] 10 000 dollars (7 500 euros) de recettes la première année, s'engageant même à la différence le cas échéant.
DIGNES DES STANDARDS ACTUELS
BlackBerry 10 intègre aussi la fonction "Balance", qui permet de séparer l'usage privé de l'usage professionnel. D'un c?té, l'utilisateur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] accède à ses courriels personnels, utilise , lit des , [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] télécharge toutes les applications qu'il souhaite, etc.
Forcément, le fabricant promet "le catalogue le plus étoffé pour le lancement d'une nouvelle plate-forme". Reste que les magasins d'applications d' et de en compteront au moins dix fois plus. "Dans chaque pays, nous aurons une large sélection des applications les plus populaires", rétorque , le vice-président chargé du développement commercial de RIM.
Encore très prisé par les cadres il [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] y a quelques années, le BlackBerry a perdu du terrain en raison du phénomène bring your [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] own device - les employés utilisant auparavant des BlackBerry fournis par leur employeur se servent désormais de leur propre smartphone.
Ces derniers mois, M. Heins a rencontré les opérateurs, les développeurs et les directeurs informatiques de ses grandes clientes pour les de la force résiduelle d'une marque qui a séduit 80 millions d'utilisateurs dans le monde. "Nous pouvons sur une base loyale qui attend nos nouveaux terminaux", assure-t-il. Il ne faut pas se . Alors pour cecome-back, le groupe a pris son temps, repoussant plusieurs fois la date de lancement, peaufinant son marketing.
ATTIRER LES D?VELOPPEURS
"Black regroupe le meilleur des mondes, lance , responsable de [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] la [url=http://boatranch.com/item/48620]hollister france La gazette du mercato Dassier a[/url] sécurité chez RIM. Les employés n'ont plus besoin de aux applications qu'ils ont l'habitude d'. Et les services informatiques évitent que leurs employés trouvent des moyens de leurs [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] mesures de sécurité ou utilisent des terminaux qu'ils ne peuvent contr?ler."
S?PARER L'USAGE PRIV? DE L'USAGE PROFESSIONNEL
A ses débuts, BlackBerry s'était lancé en donnant ses premiers téléphones à des dirigeants en vue. M. Heins va peut-être avec cette stratégie : "Quand vous observez les grands PDG, vous constatez qu'ils utilisent un téléphone pour leur divertissement et un BlackBerry pour leurs activités professionnelles. Notre objectif est de leur un terminal qui répond à ces deux besoins", explique-t-il. Reste [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] à les de se séparer de leurs actuels smartphones.
De l'autre, les informatiques peuvent contr?ler les applications et sécuriser les données de l'entreprise. En quittant son [url=http://universe-24.com/blogs/posts/Karbie2y855]hogan outlet Le PSG veut changer son logo[/url] travail, on peut désactiver l'accès à cet espace et ne plus être alerté quand un e-mail professionnel arrive.
L'expérience utilisateur ? "C'est la meilleure du marché", dit , responsable du développement chez RIM. |
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