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xkekg34fa
Posted: Tue 13:14, 24 Sep 2013
Post subject: giuseppe zanotti sneakers Le capitalisme, la liber
Bien s?r, ces choix sont conditionnés par notre mimétisme, par le besoin que nous avons de nous identifier... [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] à notre classe, à notre milieu... auxquels nous aspirons à appartenir.
Mimétique, il est infini.
Il faut canaliser cette [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] énergie, pour qu'elle produise ce que la société demande.
Je ne l'entends plus aujourd'hui, mais je l'entendais encore, il y a 15 ou 20 ans?:
Tout autre système le restreindra, l'empêchera, le gênera, le contraindra...
Devrons-nous obéir?? ...
Allons-nous obéir??
Ces choix sont sollicités, orientés par la publicité [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] que les producteurs nous imposent pour susciter notre désir...
Et elles sont en concurrence les unes avec les autres.
Sous-entendu?: on devrait les éduquer, leur [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] apprendre ce qu'ils doivent consommer...
Notre désir, humain, est mimétique.
Si nous en avons toujours le choix... démocratique.
Or, notre liberté de choix, liberté de choix de consommateurs, conditionne la structure de? l'organisation de la production.
Il faut distinguer ces 2 instances, et leur assigner les responsabilités, et le pouvoir qui leur revient?:
Leur efficience tient à l'individualité de leur décision. Renoncer à cette individualité leur ferait perdre leur efficacité.
Le génie humain est dans ce mimétisme, sa puissance est infinie...
Nous ne l'admettrons pas.
Les entreprises ne peuvent pas défendre l'intérêt collectif?: il est contraire à leur nature.
Au fond, la publicité est au commerce moderne ce que l'étalage est au marché ou au magasin.
L'étalage, la publicité suscitent notre désir, qu'il appartient à chacun de ma?triser, pour ma?triser sa vie.
Qui... apprendrait... à qui??
Je n'arrive pas à imaginer qu'un système économique puisse être plus proche de notre désir mimétique que le système capitaliste.
Mais sans désir, [url=http://0769puwang.com/forum.php?mod=viewthread&tid=117402&pid=399985&page=1&extra=page=1#pid399985]barbour uk Remaniement les femmes, seule incarna[/url] il n'y a pas d'amour.
? à l'individuel, l'entreprise.
Mais certains font l'effort de proposer leurs solutions.
??Les gens consomment n'importe quoi?!??
Il ne faut pas confondre le système économique, et le système social.
Il est à la base du désir humain.
Chacun construit sa vie en vivant et ma?trisant son désir, au milieu de toutes les sollicitations, tous les droits, toutes les contraintes, toutes les obligations, tous les devoirs, toutes les envies... C'est la liberté, qui nous permet de ma?triser notre désir, d'en prendre la responsabilité... qui nous permet de construire l'équilibre de notre personnalité.
? Les entreprises sont des entités individuelles?: elles ne prennent en compte que leur intérêt propre, ne décident que pour elles, chacune.
De même le capitalisme, s'il n'adhère pas au réel, au réel social donc, il tourne à vide, s'emballe, effréné comme un priapisme.
? au collectif, l'intérêt des salariés, l'emploi, la sécurité de l'emploi. Avec les moyens financiers y afférents.
Sur les ??conseils?? d'un ??ma?tre??, d'un gourou??
En ?plus des opposants traditionnels, la crise actuelle suscite [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] la manifestation de nouveaux contempteurs du capitalisme.
Le capitalisme est calqué sur notre désir mimétique... il en épouse tous les contours, il en exploite tous les ressorts, il en a toutes les ressources, toute la fluidité...
Certes ce désir de consommer ne constitue en soi, en aucune manière, la résolution de notre question existentielle, mais les choix libres que nous faisons établissent notre cadre de vie, et notre fa?on d'y vivre.
La concurrence entre les producteurs est la condition de la liberté de choix des consommateurs... que nous sommes tous.
pour défendre la liberté de notre désir...
Lorsqu'on confie comme actuellement, l'intérêt des salariés à l'individuel, les entreprises choisissent entre les [url=http://etmy.net/viewthread.php?tid=24846&extra=]giuseppe zanotti pas cher Lécologie, plus que jamais une solution[/url] salariés, donnent des avantages à certains plut?t qu'à d'autres en fonction de leurs critères propres, individuels.
Chacun des acteurs économiques a son intérêt, son désir propre... qu'il peut développer à son go?t et à son gré... sans tenir compte de l'ensemble?: c'est là que réside la puissance de son génie.
Les entreprises ne peuvent pas non plus être dirigées [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] par des décisions de nature collective.
Qui va en décider??
Sur ceux d'une philosophie?? D'une foi?? D'une morale??
La structuration actuelle de l'articulation des acteurs économiques et sociaux n'est pas immuable, elle est devenue inadaptée au monde actuel...
Quand on parle de désir, on pense bien s?r au désir sexuel.
La plupart se contentent de le vouer aux gémonies, sans rien proposer pour le remplacer.
Les autres systèmes n'ont donc aucune chance tant que nous serons libres d'en décider... à moins qu'on en invente un, où notre désir sera encore plus libre.
Il s'agit de le contraindre à travailler le réel, pour le réel.
Tous, vous [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] et moi, nous défendrons le capitalisme,
Ces choix ne peuvent relever que de la décision démocratique, et s'inscrire dans la société démocratique... ce qui exclut nombre de propositions autoritaires ou arbitraires, ou simplistes.
Il aspire à être assouvi, non seulement immédiatement, mais aussi durablement.
Si le désir [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] sexuel ne s'aboutit pas, il risque de n'être que souffrance...
Bien s?r il ne faut pas confondre le désir sexuel et l'amour.
Je n'arrive donc pas à imaginer qu'un autre système puisse mieux répondre [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi?mode=view&no=927176&res=1&page=400]abercrombie milano Fukushima [/url] à notre désir, mieux porter notre désir, que le capitalisme.
Outre qu'on voit mal comment elles pourraient être mises en ?uvre sans un coup d'?tat ou une révolution, c'est à dire en mettant la démocratie entre parenthèses, ces ??solutions?? ne prennent jamais en compte notre point de vue de consommateurs, et le rapport de ce point de vue avec l'organisation de la production, capitaliste ou non, socialiste ou non, ou tout autre...
Et [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de proposer diverses formes d'organisation, d'encadrement économique, supposées résoudre les désordres et injustices de ce capitalisme honni...
Alors que les animaux sont finis, déterminés?; enfermés dans cette détermination.
Quoique je sois rétif à la publicité, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] il faut bien admettre qu'elle nous permet de faire notre choix parmi tant et tant de propositions.
Cette liberté de choix de consommateurs, en correspondance, produit chez les producteurs la concurrence, entre eux.
Mais tous les systèmes que l'on nous propose limitent notre liberté.
Quand nous soutenons [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] ceux qui s'opposent à la concurrence, soutenons-nous aussi l'abandon de notre liberté de consommateurs??
Non le problème, c'est le contr?le du système social sur le système économique.
On peut dire que l'amour est cet aboutissement, cette résolution...
La production est branchée sur cette demande, c'est-à-dire sur ce désir... libre.
Non seulement physique, mais aussi dans la plénitude d'une vie dans toutes ses dimensions, sentimentale, conjugale, familiale...
Aujourd'hui nous avons admis que chacun consomme ce qu'il veut... et ce qu'il peut.
Que tel ou tel salarié résolve le problème de son emploi ne résout en rien la question générale de l'emploi... qui ne peut être ma?trisée que collectivement.
Par conséquent, ceux qui refusent [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] la concurrence refusent ? implicitement ? la liberté de choix des consommateurs.
? L'intérêt des salariés est collectif, sauf à les opposer les uns aux autres. Mais alors, il n'est pas ma?trisable.
Elle devrait être redéfinie, en tenant des impératifs de l'efficacité économique?:
Si nous renon?ons à notre liberté de consommateurs, sur quels critères alors allons-nous décider de notre consommation??
Ce n'est pas le système économique qui pose problème.
C'était l'époque où, sortant de la période antérieure de pénurie, ou de consommation prédéterminée par l'appartenance sociale, on était entré dans la société de consommation. Certains ne s'y retrouvaient pas, et demandaient un ordonnancement, un ordre, qui déterminerait la société...
Le réel est social.
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