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xkekg34fa
Joined: 19 Jul 2013
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Warns: 0/5 Location: England
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Posted: Fri 20:19, 13 Sep 2013 Post subject: hollister france Femmes japonaises elle était un |
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De notre envoyé spécial.
MANAGER. C'est écrit là, sur la carte de visite, en haut à droite. L'ongle rouge vient s'incruster dans le carton. Ma-na-ger, articule-t-elle encore, en for?ant sur l'accent américain. "Désolée, souffle Rei, mais je ne connais pas le mot au féminin." S'il existait, l'utiliserait-elle? Pas s?r. [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] Elle porte ce titre, comme d'autres une médaille à la boutonnière. Il est vrai qu'elle s'est battue, [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] Rei. Contre sa famille, son mari, ses collègues, bref, la société tout entière. Une pionnière en quelque sorte. Elle fait partie de cette génération de femmes qui ont choisi de devenir cadres envers et contre tous. Au Japon, selon le ministère du Travail, elles ne seraient aujourd'hui qu'à peine 5%.
Un vrai parcours du combattant. "Durant toute ma scolarité, mes parents m'ont tannée pour que je sois devant les mecs. J'ai pris go?t à cette compétition. A l'heure d'entrer à l'université, leur discours a brutalement changé: "Pense donc à te marier", me disaient-ils. En fait, ils me voyaient institutrice, femme au [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] foyer, mère exemplaire, rangée, comme toutes les autres, quoi. Moi, je rêvais de carrière, quitte à faire des sacrifices." Les années ont passé. La voilà donc directrice des ventes dans une agence de voyages d'Osaka, divorcée, un m?me à charge, sans doute les fameux sacrifices. Et des parents toujours pas convaincus.
Manager
contre OL
$%Elle n'a pas gagné la guerre, mais assurément quelques batailles. "Les hommes japonais ne supportent pas que nous puissions réussir. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] Moi, ?a me fait rire d'avoir des mecs sous mes ordres. J'aime voir leurs [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] têtes quand je conduis des entretiens d'embauche." Elle est fière, Rei, à en parler comme un "mec". Fière d'aligner comme n'importe quel autre ses cinquante, voire ses soixante heures par semaine. Fière de clouer le bec à ceux qui n'ont toujours pas compris la direction - un sens unique - prise par la société. "Quand un client a un problème, il souhaite souvent parler à un responsable de la bo?te. Je prends la communication. Là, je m'entends dire: "Mais j'ai demandé le patron!" Au début, cela me rendait folle. Maintenant, je me délecte en [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] écoutant leurs excuses. De toute fa?on, je crois avoir tout entendu, y compris des commentaires sur ma vie privée, certains se demandant comment, avec toutes ses heures passées au boulot, je pouvais être une bonne mère..."
Ces humiliations, l'OL ne les conna?tra pas. Du moins, pas ce genre-là. "OL" comme "office lady", littéralement "la femme du bureau". Caractéristiques: [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] jeunes et jolies avec le petit doigt sur la couture de l'uniforme, aux antipodes d'une femme comme Rei. L'une d'entre elles raconte: "J'ai travaillé chez Mitsubishi. J'époussetais les bureaux des hommes en train de travailler, faisais des photocopies, servais le thé, le go?ter à 15 heures, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] etc." On les surnomme les "koshikaké", les demi-assises, car elles ne restent pas bien longtemps dans l'entreprise, le temps de trouver un mari sous la pression de la famille.
Le temps partiel
pour les femmes
$%Trois, quatre ou cinq ans au grand maximum durant lesquels leur (bon) salaire est synonyme [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] d'argent de poche, toutes, dans leur grande majorité, habitant chez leurs parents. Un formidable magot convoité par les publicitaires et les grands magasins, les Matsuya et autres Mitsukoshi, tous en rang d'oignon, du c?té de Ginza, le quartier chic de Tokyo où on s'arrache les Agnès B, Dior et autres Vuitton.
"Dans les familles, poursuit [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] notre ex-office lady, on ne s'inquiétait jamais, car les filles pouvaient toujours devenir OL." Mais la crise est passée par là. Peu à peu, la précarité s'est installée, 90% des salariés à temps partiel étant aujourd'hui des femmes. Un dilemme pour toute une génération. Le système office lady a du plomb dans l'aile et les dix-huit-vingt-cinq ans, à en croire un long reportage de l'édition dominicale de l'"Asahi Shimbun", ne serait pas prête à reprendre le flambeau de leurs combatives a?nées. Que revendique-t-elle au juste? "Un travail normal, épanouissant, explique une jeune fille, où je suis l'égale de mon collègue masculin à tous les niveaux: salaire, promotion, congés, etc." Une utopie pour l'instant même si les entreprises étrangères, et notamment fran?aises, recrutent désormais à tour de bras des cadres féminins.
Ne plus avoir
à choisir
$%En fait, la discrimination débute très t?t, dès l'université, où il y a à peine dix ans, à Tokyo, une grève a permis d'obtenir des toilettes pour dames... "Avant la fin des études, explique une responsable du syndicat étudiant Zengakuren, des cartes-réponses sont envoyées aux entreprises afin de solliciter des entretiens. Une fille re?oit en moyenne 0,4 réponses contre 1,4 pour un gar?on."
L'obstacle franchi, l'impétrante ne sera pas au bout de ses peines même si, [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] depuis 1986, date d'adoption de la loi sur l'égalité des chances, les choses s'améliorent petit à petit. "Une femme gagne en général deux tiers du salaire des hommes", indique Kiyoko Kumazaki, dirigeante de Rengo, premier syndicat du pays. Elle monte difficilement dans la hiérarchie car on juge les femmes moins malléables que les hommes. Et malheur à celles qui ont un enfant!" Mais rien n'y fait, rien n'y fera, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] à en croire Yasuko Ikeda, son alter ego de Zenroren: "Comme on dit aujourd'hui, les femmes veulent aller tout droit, ne plus avoir à choisir entre le travail et la maison, entre l'enfant et la carrière."
La grève
des bébés?
$%Ceci expliquant peut être cela, dans la mégapole Tokyo-Yokohama, on compte désormais un enfant par femme, soit le plus bas taux de natalité au Japon (1,43 dans le reste du pays). La grève des bébés a-t-elle commencé? "Pas faux", répond une députée qui raconte cette anecdote édifiante: "Lors de la Conférence des femmes à Pékin en 1995, notre pays s'est distingué: c'est un homme qui a pris la parole au nom des Japonaises." Heureusement, les temps changent. Selon une enquête récente, 65% des Japonaises se disent aujourd'hui satisfaites de leur sexe contre 29% qui souhaiteraient être un m?le. Il y a quarante ans, c'était tout bonnement l'inverse.
LAURENT FLANDRE
Demain: Voyage à Toyota City.
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xkekg34fa
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Posted: Tue 4:46, 24 Sep 2013 Post subject: |
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Le Fonds stratégique d'investissement (FSI), qui devait à hauteur de [link widoczny dla zalogowanych] 125 millions d'euros dans ce projet, "ne fait plus partie de l'aventure", a indiqué un porte-parole. "Au fur et à mesure que [link widoczny dla zalogowanych] le temps passait, nous ne voyions rien . Et puis, finalement, Renault a décidé de ce projet seul. A un moment donné, quand l'industriel dit "on n'a plus besoin de ", on dit "OK"", souligne-t-on au FSI.
Renault réfute catégoriquement un quelconque problème technologique. "Nous n'avons aucun problème avec les batteries Nissan-Nec. L'Etat n'en a pas non plus avec notre technologie. Il y a déjà 10 000 Leaf (la voiture électrique de Nissan) qui roulent et il n'y a aucun souci", martèle Renault.
a confirmé, jeudi 7 juillet, qu'il était décalé à 2014 et qu'il le financerait seul.
Lors d'un comité d'établissement, mi-mai, Olivier Rémoleux, le directeur de l'usine de Flins, [link widoczny dla zalogowanych] avait reconnu que la complexité technique et la rapidité de l'évolution des amenaient à le planning, afin d' la meilleure technologie au moment du démarrage de l'unité de production. "Il ne serait pas opportun de la copie de Zama (l'usine de batteries de Nissan au Japon), parce que ce sont des batteries très chères. Il y a des améliorations qui sont déjà possibles, donc il faut vraiment les travailler", [link widoczny dla zalogowanych] avait-il expliqué lors de cette réunion, selon Libération dans son édition du jeudi 7 [link widoczny dla zalogowanych] juillet.
Parallèlement, le prêt public de 100 millions d'euros, annoncé en février 2010 pour la production de la Zoé, la petite citadine électrique, est annulé. Preuve sans doute encore que Renault préfère être le plus indépendant possible de l'Etat. Carlos Ghosn, PDG de Renault, a assuré jeudi à , ministre de l'industrie, que Flins verrait bien le jour et que la Zoé, la petite citadine électrique, sortirait début 2012.
En attendant, Renault importera les batteries du (de chez Nissan-Nec) ainsi que de (de chez LG Chem). Deux autres usines de Nissan pourraient être aussi mises à contribution : Cacia au et Sunderland au .
Mi-juin, le syndicat CGT avait déjà révélé un retard du projet, évoquant même la date de [link widoczny dla zalogowanych] 2015. A l'époque, Renault avait bien confirmé un décalage dans le temps sans pour autant une nouvelle échéance. Le groupe avait alors fait état de "problèmes techniques". Explication de ce revirement : la complexité du montage juridico-financier. "Il y avait beaucoup de partenaires autour de la table. A l'époque, nous étions en pleine crise économique, nous avions du mal à nous à des taux intéressants et étions très endettés. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Nous pouvons ce [link widoczny dla zalogowanych] projet seul", affirme un porte-parole de Renault. Qui réfute toute velléité d'indépendance vis-à-vis du gouvernement.
En réalité, [link widoczny dla zalogowanych] le projet initial a aussi été modifié. Au départ, cette coentreprise devait des batteries pour des concurrents de Renault. Ce n'est plus le cas. "La reconfiguration du projet - qui ne conduit [link widoczny dla zalogowanych] plus à la création d'une société de conception, d'industrialisation [link widoczny dla zalogowanych] et de ventes des batteries pour véhicules électriques, mais à un projet interne à Renault (...) - ne permet [link widoczny dla zalogowanych] plus une intervention du FSI", explique-t-on au sein du fonds souverain, dont la mission est d' dans des s indépendantes disposant de l'intégralité de leurs moyens et travaillant pour plusieurs clients. Il suggère que si Renault a besoin de soutien public, il pourra toujours appel au grand [link widoczny dla zalogowanych] emprunt.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous
En novembre 2009, , alors ministre de l', avait annoncé en grande pompe la signature d'une lettre d'intention entre Renault, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et le FSI en vue de créer une coentreprise pour développer et des batteries électriques : un investissement de 600 millions d'euros pour la première phase du projet. Renault et le FSI devaient chacun 125 millions d'euros. La Banque européenne d'investissement (BEI) devait prêter près de la moitié des 280 millions d'euros d'emprunts totaux. Le CEA, [link widoczny dla zalogowanych] de son c?té, devait 5 millions d'euros. Ni l'un [link widoczny dla zalogowanych] ni l'autre n'interviendront finalement dans le financement de l'usine de Renault. Le CEA "reste notre partenaire pour le développement des batteries", indique-t-on néanmoins chez le constructeur automobile.
Ce report intervient au moment où un débat sur la sécurité des batteries des véhicules électriques est en [link widoczny dla zalogowanych] train de s' (Le Monde du 29 juin).
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