Rowery

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, de l'intérêt de la monnaie, l'ouvrage majeur de l'économiste britannique Keynes (1883-1946). Soixante-quinze ans après, l'économiste , professeur associé à l'Ecole supérieur de commerce de Paris (ESCP), évoque l'influence d'un des ouvrages les plus importants du XXe siècle.
Jean-Marc [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] Daniel : Keynes développe trois idées essentielles. La première : l'homme se réalise par la consommation. Les économistes libéraux classiques s'intéressaient davantage à l'épargne car elle conditionne l'investissement. Ensuite, Keynes affirme que la monnaie n'est pas neutre : les gens préfèrent des liquidités pour les à tout moment et ne se tourneront vers l'épargne que si elle est très bien rémunérée. La troisième idée forte, c'est que l'Etat a la capacité d' sur la production. En finan?ant par exemple des grands travaux, il crée des emplois, favorise [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] la , ce qui crée d'autres emplois. C'est le multiplicateur keynésien.
Les politiques, eux, [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] y ont vu des solutions concrètes à la crise de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] 1929. Pendant les premières années de la crise, ils espéraient que les forces du marché [url=http://hfjljd.com/news/html/?24113.html]louboutin La loterie, visage aimable du fisc espagnol, mais lucratif[/url] allaient résoudre la crise. Cela a été inefficace et les populations se sont tournées vers l'extrémisme. Les politiques d'alors, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] comme le , ont souvent pris des initiatives de grands travaux ou d'investissement. Keynes a fourni un fondement théorique à leurs pratiques empiriques.
Deux types de personnes ont réagi à l'époque : les économistes et les hommes politiques. Pour sa profession, l'ouvrage de Keynes n'était qu'une provocation de plus [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] de la part d'un homme qui aimait se . Ce [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] n'était pas un coup de tonnerre dans un ciel bleu : ces idées circulaient depuis un moment mais Keynes était le premier à les .
Il leur dirait d'être pragmatiques mais aussi constants dans [url=http://movie2us.com/forum.php?mod=viewthread&tid=44581&fromuid=1593]www.vivid-host.com/barbour.htm Pouch Challenges Balenciaga V .. Proenza Schoule[/url] l'effort. Ne regardez pas les indicateurs à trois mois, ne laissez pas par les agences de notation. Mais aussi de préparer la prochaine crise. [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] Et il leur dirait enfin qu'il [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] faut les enjeux à la . Il serait plus du c?té de qui promet du sang et des larmes aux Britanniques que de ceux qui ne s'avancent pas sur [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] des hausses d'imp?ts
Le Monde : Quelles sont les -clef de la Théorie générale de Keynes ?
Après Keynes, pour les économistes, il y avait deux solutions : la victoire de leur camp ou bien de réaliser la synthèse des idées keynésiennes et libérales classiques. Des économistes comme John Hicks ou [url=http://www.materialistanyces.com]louboutin[/url] Paul Samuelson l'ont réalisé et ce sont eux qui ont gagné. On a parlé de retour de Keynes pendant la [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] crise, mais les schémas libéraux restent forts. Si la économique aujourd'hui c'est le p?té de cheval et d'alouette, le cheval est libéral classique et l'alouette est keynésienne.
Que dirait Keynes aux politiques aujourd'hui ?
Qui a fini [url=http://www.hitch.vpeck.com/profile.php?uid=1]www.mansmanifesto.com Tahitian Noni Is That This M[/url] par l' dans les politiques économiques ? Les libéraux classiques ou les keynésiens ?
Comment l'ouvrage avait-il été accueilli à sa sortie ?